11/01/2010
et le nombre croissant
étant là,
je réitère
la complainte.
Toi, lecteur!
ne passe pas ton chemin
sans laisser
une trace
de ton passage.
Dis-moi oui,
dis-moi non,
dis-moi merde!
Mais dis! à défaut, je finirai par penser
que tu ne penses pas
que tu ne sais pas
que tu ne veux rien
comme moi.
Or,
Un monde de sosies
est un monde mort.
<<<<<<<<<<<<
A toi
douce amie d'antant
que j'ai bousculée
dans ton bien-être présent
pardon
d'avoir rêvé
un instant
à une vie
d'amants
et de présents.
tes yeux
probablement
droits dans
l'objectif
infiniment durs
infiniment las
toujours là
m'ont donné
le ravissement
d'un court instant
de rêve
que tout
peut être refait
peut renaître
peut enfin être.
Pardon
pour cet égarement
pour cette impossible
instance.
Je n'ai plus à présent
que le souvenir
d'enfants
qui voyaient le monde
comme des grands.
un souvenir
de mécréant
là où tu
veillais
jalousement
à ton étant
devenant
ton épanouissement!
pardon
humblement
22:56 Écrit par Le C dans Général | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
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